Parce qu'un bon plan d'affaires, ce n'est pas juste des chiffres sur papier. C'est une vraie boussole. On vous montre comment construire des projections réalistes, anticiper les défis, et convaincre les investisseurs sans promettre la lune.
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On ne va pas se mentir : créer un plan d'affaires peut sembler fastidieux. Mais divisé en trois étapes claires, ça devient gérable. Et surtout utile.
Comprendre les bases avant de foncer tête baissée. Flux de trésorerie, marges, seuils de rentabilité. Pas de jargon compliqué, juste ce qui compte vraiment.
Maintenant qu'on a les bases, construisons quelque chose de concret. Un document que vous pourrez présenter sans rougir, avec des chiffres qui tiennent la route.
Avoir un bon plan, c'est bien. Savoir le défendre devant des gens qui posent des questions difficiles, c'est mieux. On vous prépare aux vraies discussions.
Trop de formations vous noient sous les théories. Nous, on préfère partir de situations réelles. Des cas concrets d'entreprises qui ont réussi, raté, pivoté. Vous apprenez en analysant ce qui marche vraiment sur le terrain.
De septembre 2025 à avril 2026, un accompagnement progressif. Chaque étape construit sur la précédente, sans précipitation.
Septembre-octobre 2025. On commence par évaluer votre situation actuelle. Quels sont vos atouts ? Vos zones d'ombre ? Cette phase pose les vraies questions avant de courir après les réponses.
Novembre-décembre 2025. Construction de vos premiers modèles. On apprend à jongler avec les scénarios optimistes, réalistes, prudents. Parce que la vie réserve toujours des surprises.
Janvier-février 2026. Le cœur du travail. Vous écrivez, on corrige, vous réécrivez. Ça peut sembler répétitif, mais c'est comme ça qu'on obtient un document solide.
Mars-avril 2026. Simulations de présentation, ajustements de dernière minute. Vous terminez avec un plan finalisé et la confiance nécessaire pour le défendre.
Pas de témoignages trop parfaits. Juste des retours honnêtes de gens qui sont passés par là.
Avant la formation, je voyais les finances comme un mal nécessaire. Maintenant, je comprends que c'est un outil de pilotage. Mes prévisions sont plus justes, mes décisions plus éclairées. Ça change la donne au quotidien.
Ce que j'ai aimé ? Les tableaux Excel qu'on a construits ensemble. Je les utilise encore aujourd'hui. Pas besoin de logiciels compliqués, juste des formules bien pensées qui me font gagner des heures chaque mois. Et les retours personnalisés m'ont vraiment aidé à affiner ma stratégie pricing.
Mon premier rendez-vous avec une banque a été un désastre. Je bégayais devant mes propres chiffres. Après le module présentation, j'ai obtenu mon prêt au deuxième essai. La différence ? Je savais enfin répondre aux objections sans paniquer. Les simulations de pitch m'ont donné cette assurance qui manquait cruellement.
Personne ne vous promet l'eldorado ici, et c'est justement ce qui m'a convaincu. On m'a appris à faire des projections prudentes, à prévoir plusieurs scénarios. Résultat : quand la crise des fournisseurs est arrivée en 2025, j'avais déjà un plan B.